vues sur l'intérieur , ... aperçu de stèles en marbre blanc,
"... Présence pendant un temps d'un autel taurobolique (*) ,
découvert en 1616, seconde moitié du IIe siècle.
Il fut utilisé comme base d’une fontaine avant de gagner le musée lapidaire en 1824.
'Pour Lucius Decimus Pacatus et son épouse Coelia Secundina'.
Le couronnement manque. Les faces latérales sont décorées d’une tête de taureau,
d’une tête de bélier et d’une pomme de pin (CIL XII, 357)...".
(*)
Un autel taurobolique est un monument de pierre destiné à commémorer un sacrifice nommé taurobole,
pratiqué en l’honneur de la déesse Cybèle,
qui consiste à sacrifier un taureau, parfois un bélier (le sacrifice s’appelle alors criobole).
(Wikipédia).
"colonni urbis reiorum appollinarium"
soit : les colons de la ville ont été tenus pour responsables, ?
Inscription trouvée au XVII°
cliché ci-dessous extrait du dictionnaire des églises de France, 1966