° L' Eglise du village , Saint Pons du XVII ° .
° Plus haut, la chapelle , sur un petit tertre au lieu dit "la paroisse" ,
Saint Pons également , mais du XII °,
antérieurement dédiée à St Vincent , restauration-inauguration en septembre 2013 : article de presse.
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° Traces de la chapelle de Rochebrune , quartier de Rosabeau
° Voir aussi : Ainac , Lambert , et Tanaron et la chapelle Sainte-Thérèse sur la route de Barles, quartier de Malefiance. ° Lieu-dit Les Epinettes , et l'ichtyosaure |
selon D.thiery :
Les quatre anciennes communes (Ainac , Lambert , Tanaron et la Robine) et des hameaux (Combasse , Pudayen (ruines) , Rochebrune et Rocherousse) offrent à peu près les mêmes situations :c’est d’abord l’emprise de l’évêché de Digne et du chapitre non seulement sur les paroisses, mais également parfois en tant que seigneur du lieu. On remarque ensuite l’implantation des premières paroisses avec des églises en plein champ et isolées , comme : Notre-Dame de Salloé, (Ainac) Saint-Vincent de Garbesia, (Robine) Saint-Pons de la Robine, Saint-Jean-du-Désert à Rocherousse. Enfin, l’enchâtellement est peu marqué, l’habitat restant dispersé en petits hameaux et fermes, ce qui n’a pas entraîné un regroupement des populations. Il faut avouer que les conditions de vie difficiles n’ont pas favorisé l’expansion du peuplement avec un centre communautaire important. |
Daniel Thiery nous précise :
" ... L’église de Rochebrune Ce petit fief fut uni très tôt à la Robine. Il est cité en 1180 lors de la confirmation des biens du chapitre par le pape Alexandre III, où le chapitre y possède des biens..... Isnard fait remarquer que les droits du chapitre sur Roquebrune étaient de nature seigneuriale. D’ailleurs, le chapitre prête hommage pour Roquebrune en 1309 (p. 309-310). Roquebrune est indiqué par Cassini et les cartes modernes et peut être placé à l’endroit où le Galabre rejoint le Bès, rive droite du Galabre entre Rosabeau et Beau Villard, où est indiquée une chapelle ruinée non loin de la rivière. Si l’église de Rochebrune est bien attestée en 1351 avec un chapelain la desservant, on ne connaît pas son titulaire. Mgr Le Tellier, lors de sa visite de 1683, n’en parle pas et aucun document ne vient confirmer son existence par la suite...". On voit sur cette carte Géoportail l'emplacement de la ruine de la dite chapelle. Malheureusement les propriétaires n'admettent aucune intrusion , même pour une photo. (en juin 2009) Dont acte. La route est la D103 et en continuant sur la gauche nous arrivons à la Robine-sur-Galabre. Cet endroit est en effet à la jonction du Galabre avec le Bès. Photos prises par JP Pinatel en avril 1993 |