" ... Chapelle voutée de croisées d'ogives primitives rares, sans clé, règne à mi-hauteur.
Cette chapelle , sans doute sous le vocable de Saint-Michel (saint comme l'on sait adorant se percher), devait abriter les reliquaires que l'on descendait dans le choeur
par une baie lors des fêtes majeures. Là était le reliquaire de la Vraie-Croix (*) disparu à la révolution ...".
(*) rapporté des croisades par l'évêque Pierre de Sabran (1145-1171)
Article de presse , "La Provence" , 26/07/2001 |