selon Wikipédia :
au chef-lieu : L’église paroissiale placée sous le patronage de saint Julien-Martyr et sous le vocable de Saint-Georges, est détruite en 1574 durant les guerres de religion, elle n’est reconstruite qu’à partir de 1598 ; la nef date du XIXe siècle. Le chœur et la chapelle latérale (du Rosaire, datant de 1539) sont voûtés d’ogives, la nef voûtée d’arcs en berceau : le plafond du chœur est peint d’entrelacs multicolores. L’église est couverte de tuiles de couleur. Elle abrite plusieurs toiles anciennes notamment du peintre Rouvier. Liste des toiles faisant l'objet d'une protection : ° un Saint-Georges terrassant le dragon du XVIIe siècle, ° deux tableaux représentant la naissance et la mort du Christ attribué à Rouvier formant initialement le grand retable (la partie centrale du triptyque ayant disparu), datés du début du XVIIe siècle, ° un tableau représentant saint Antoine et saint Paul-Ermite, daté du troisième quart du XVIIe siècle, ° un tableau placé sur le retable et représentant l’institution du rosaire, datant de la fin du XVIIe siècle, Le clocher date des XIVe/XVe siècles. La chapelle de Notre-Dame du Serret dominant le village. Désaffectée, elle a été vendue comme bien national à la Révolution avant d’être rachetée par la commune qui l’a utilisé dans les années 1930 comme hangar pour la batteuse communale. Son existence est attestée au XIIIe siècle comme en témoigne un document ancien qui la mentionne comme « église mutilée ». Elle fait aujourd'hui l'objet de travaux importants de rénovation menés par l'Association de sauvegarde du patrimoine culturel de Thorame-Haute qui en est locataire. les chapelles Saint-Roch et Saint-Joseph, toutes deux situées à l’extérieur du village . Chapelle Notre-Dame de la Fleur La gare a donné son nom au lieu-dit : Thorame-Haute-Gare, mais localement on l'épelle aussi fréquemment "la Fleur" car c'est aussi le lieu d’implantation d’une chapelle miraculeuse aux origines médiévales] : Notre-Dame de la Fleur. Chaque année a lieu pour Pentecôte une procession au départ de l’église paroissiale avec la statue de la Vierge jusqu'à la chapelle, suivie par des cérémonies religieuses. Le bâtiment actuel a été construit entre 1927 et 1947 (ou 1936-1947) par l’abbé Juvénal Pélissier, curé de la paroisse de Thorame-Haute de 1925 à 1955 qui l'a reconstruite seul. Elle a été inaugurée par Monseigneur Cosme-Jorcin le 26 mai 1947. Ses vitraux représentent différentes essences de fleurs de la vallée ainsi que plusieurs églises et chapelles du Haut Verdon et de la Vaïre. Sa toiture a la particularité d'être recouverte de plaques de cuivre. |