Prague-St-Guy Prague

" ... Prague traversée par la Moldau ,
capitale tchéque .

La cathédrale Saint-Guy est le siège de l'archevéché de Prague.
Le nom complet de la cathédrale est Cathédrale Saint-Guy, Saint Venceslas et Saint-Adalbert .
Située à l'intérieur du Château de Prague, elle est un excellent exemple d'architecture gothique et est la plus grande et plus importante église du pays .

La construction complète a duré près de six siècles de 1344 à 1929 ...".


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( photos prêtées par Matthieu A. , merci )


... un aperçu de la cité , traversée par la Moldau

















... la cathédrale Saint Guy




Wikipédia précise :

" ...À l’origine de la cathédrale, il y a le présent fait aux environs de l’an 925, par le roi de Francie orientale, Henri l’Oiseleur au duc Venceslas Ier, une relique de Saint Vit et que celui-ci place dans une église en forme de rotonde qu’il fait édifier à cet effet sur un lieu de culte païen.

Lorsqu’en 973, Prague est élevée au rang d’évêché, c’est cette rotonde, plutôt que l’église Saint-Georges qui est celle des ducs de Bohême, qui est choisie par le nouvel évêque pour y abriter sa chaire, le trône épiscopal.
En 1060, une basilique romane à trois nefs s’élève à la place de la rotonde originelle ; elle est en pierre blanche, sa nef fait 70 mètres de long et l’admiration de ses contemporains.
Le 30 avril 1344, Prague est élevée au rang d’archevêché par le pape Clément VI et sous l’impulsion du roi Jean, la construction d’une cathédrale métropolitaine est entreprise le 21 novembre de la même année. Mathieu d’Arras en est l’architecte (1344-52) puis Peter Parler (1356-99). Comme pour nombre de cathédrales, le chantier s’étale sur plusieurs siècles; celui de la Cathédrale de Prague ne s’achève qu’en 1929.
Mathieu d’Arras s’inspire du plan de la cathédrale Saint-Just-et-Saint-Pasteur de Narbonne. Peter Parler apporte une innovation en faisant du triforium un élément autonome qui, au lieu du buter sur les piliers, se brise et les contourne pour créer un mouvement ondulatoire sur toute la longueur de la nef.
À la mort de Parlér, ses fils prennent la tête du chantier mais, en 1420, les guerres hussites mettent un terme à la construction. Elle ne reprend qu’en 1560, après le grand incendie qui a ravagé Malá Strana et le Château, avec l’architecte Bonifác Wohlmut qui coiffe la tour sud d’un bulbe renaissance à tourelles d’angles.
En 1770, Nicolò Pacassi reconstruit la tour sud incendiée par la foudre et la surmonte d’un toit baroque en forme de bulbe.
C’est entre 1861 et 1929, avec le voûtement de la nef et construction de la façade ouest et de ses tours néogothiques que la cathédrale est finalement achevée.

Le pouvoir impérial s’est désintéressé de Prague et c’est essentiellement grâce à une souscription populaire que le chantier est achevé, à temps pour célébrer le millénaire de saint Venceslas qui la fonda et qui lui donne aussi partiellement son nom.

Les vitraux ont été réalisés d'après les esquisses des peintres et graveurs tchèques les plus célèbres du moment .
L'œuvre de Mucha de style Art Nouveau tardif représente La Légende de Cyrille et Méthode (1931). Outre ce fameux vitrail, on remarque les autres réalisés pour la plupart dans les années 1930, et de style bien différent.
La chapelle funéraire de saint Venceslas est ornée de peintures murales représentant la vie du saint sur la partie haute et d’un parement de pierres semi-précieuses sur la partie basse. Elle contient le tombeau du saint.
La crypte funéraire des rois de Bohême renferme les tombeaux de membres de la famille impériale du Saint-Empire ou royale de Bohême.
Le tombeau en argent de saint Jean Népomucène (1736) sur un projet de Fischer von Erlach.

La Porte d’Or est un portail aux nervures dédoublées qui forment des triangles curvilignes. Elle est surmontée d'une mosaïque, œuvre d'artisans vénitiens en quartz, calcédoine et carreaux de verre de Bohême, représentant Le Jugement dernier et datant du règne de Charles IV.
Derrière cette mosaïque se trouve la « chambre du trésor » où sont entreposés les joyaux de la Couronne de Bohême.
La Tour sud présente une base gothique et un toit baroque, sa fenêtre médiane est ornée d’une grille Renaissance d’une extraordinaire finesse. Haute de 96 m, on y admire le panorama sur le Château et la ville ... "







La porte d'or



la grande rosace



la tour de l'horloge





le tour de l'édifice , le chevet



la grande nef et le choeur



chapelle latérale et vitrail , ...


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