Wikipédia précise :
L’église paroissiale, placée sous le vocable de Saint-Jean-Baptiste et patronnée par saint Nicolas de Myre, datée du XVIIe siècle (selon Raymond Collier) ou du siècle suivant (selon les Monuments historiques), de style classique, est classée monument historique. * Elle est longue de 26 m, large de 18 m. Sa nef est formée de quatre travées et haute de 18 m ; dans chaque travée, s’ouvrent deux chapelles (nord et sud). La naissance de la voûte est ornée d’une frise de denticules et de rinceaux. * Les chapiteaux sont d’ordre corinthien. * Le chœur est voûté d’arêtes rayonnantes. * La façade occidentale est d’aspect monumental, notamment avec le fronton triangulaire et la porte ornée de rinceaux, de rosaces, de tores de laurier. Elle possède deux cadrans qui encadrent le portail et la niche contenant la statue de saint Nicolas, datant du XVIIIe siècle et restaurés en 1993. |
Nicolas de Myre (6 décembre), né en 270 à Patare, en Lycie, moine, abbé puis archevêque de Myre, actuelle Demre, en Lycie, participa au 1er concile
oecuménique à Nicée, actuelle Isnick, mourut en prison vers 345/350. Son corps fut apporté à Bari en 1087.
Très populaire au Moyen Age, il ressuscita, selon la légende, trois enfants qu'un boucher (ou un aubergiste) avait égorgés et cachés dans un saloir. En fait il aurait délivré trois militaires injustement condamnés. Il aurait également empêché un père démuni de livrer ses filles à la prostitution en leur offrant des bourses pleines d'or. Patron des enfants sages, des enfants de choeur, des jeunes filles sans dot. Patron également des bouchers, des épiciers, des marchands de vin, des mariniers, des navigateurs, des tonneliers. Patron de la Lorraine, de la Russie. Représenté avec trois enfants sortant d'une cuve. Nom issu du grec "niké" (victoire) et "laos" (peuple). Dicton "Neige de Saint-Nicolas donne froid Pour trois mois". Fête le 6 décembre. |